CRITIQUE N°13 : BATMAN - SOMBRE REFLET - TOME 2
Chose promit, chose dut, aujourd'hui j'ai lu sous le soleil de Bordeaux ce merveilleux tome numéro deux de Batman Sombre Reflet et je suis chaud patate pour vous sortir une critique de celui-ci.
Sans plus attendre, voici la critique de ce deuxième tome qui est comme le premier tome, aussi bien foutu, bien complet avec quelques schémas très sympa à la fin du book qui sont très utiles et qui nous permet de voir comment Jock et Francavilla ont travaillé sur leurs jolies planches toujours aussi originales les unes que les autres.
Scénario : Scott Snyder
Dessins : Jock & Francesco Francavilla
Sortie : Avril 2012
Nous sommes toujours dans le même univers que le tome un, le même style artistique, c'est un peu logique j'ai envie de dire... Nous obtenons encore dans ce tome deux parties, et celles-ci vont très vite se rejoindre en avançant de plus en plus dans l'histoire. La première "petite" partie nous présente l'ouverture d'une banque qui connait une sacrée réputation, elle est dirigée par Mlle Branch, mais bien-sûr, elle a changée de nom et elle est réellement Mlle Zucco, la fille l'assassin Anthony Zucco, l'homme qui a tué les parents de Dick Grayson alias Batman. C'est là que quelque chose d’intéressant entre dans ce tome, c'est la relation entre Batman et Mlle Zucco qui va nous donnée le sourire, certaines répliques sont cultes pour moi et Dick trouve toujours quelques chose de sombre à dire mais qui va tout de même nous faire sourire.
La deuxième partie est une très grosse partie puisqu'elle nous accompagne jusqu’à la fin de ce deuxième tome de Snyder. C'est une partie qui est très intéressante pour ceux qui souhaite faire connaissance avec James Gordon, le fils connu sous une identité psychotique auprès de sa soeur Barbara Gordon et son père le Commissaire Gordon. James Gordon est un personnage intéressant qui doit être connu par tout bon fan du Batverse (l'univers de Batman) car il a quelque chose qui nous fascine, son regard, ses dires, ses réactions et sa fureur. Beaucoup de rebondissements vous marquerons à coup sûr sur ce personnage, c'est clair et net !
James Gordon me fait très voir trop souvent penser à Anthony Perkins du film Psychose d'Alfred Hitchcock, un classique des films d'horreurs aujourd'hui. Et c'est ça que je retrouve en James, c'est exactement le même caractère à la fois charmeur, confiant mais finalement... Je n'en dirais pas plus.
Nous pouvons noté aujourd'hui une brève apparition du Joker qui est malheureusement pas l'une des ses meilleures apparitions. L'humour veut être présent auprès de ce personnage qui est comme vous le savez très souvent charismatique, c'est une habitude chez ce personnage mais cet humour ne nous fait pas rire, ni sourire, en tout cas c'était le cas pour moi. Même si le Joker est très violent dans ses paroles certaines fois, il arrive quand même à nous volé un sourire et c('est ça qui est bon avec ce personnage.
Les dessins de Jock et Francavilla sont toujours très correct et beaucoup plus artistique dans ce deuxième tome. Le système d'ombrages et d’éclairage est le même avec une diversité des couleurs que tous le monde peut apprécié. Bref, chaque planche est une oeuvre d'art de nos chers dessinateurs.
Est ce que je vous conseil ce Comics ? Je dis un grand oui pour les même raison que le tome un, mais ce tome-ci m'a plus captivé que le premier, peut-être parce que c'est le révélateur du dénouement final de cet univers remplit de sombre reflet envers plusieurs personnages liés par quelque chose de fort. Je donne donc à ce Comics un très jolie 8.5/10 pour la captivité que j'ai eu envers cette fin parfaite.
C'est la fin de cette deuxième et dernière partie de la critique des deux grands tome du Batverse intelligemment nommés "Sombre reflet", le titre correspond parfaitement à se que ces tomes renfermes et en tout cas si vous avez un exemplaire à lire chez vous, et bien, bonne lecture et gardez la pêche pour lire une prochaine critique qui arrivera sous peu !
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